Tomi Ungerer, le saute-fleuves
Tomi Ungerer dessine des animaux :
Mais aussi des dessins d'observation :
De féroces dessins satiriques :
De nombreux albums pour la jeunesse :
Mais aussi d'incroyables dessins érotiques (en particulier des machines masturbatoires complètement folles), j'ai eu du mal à en trouver un à peu près pas trop hard :
Et puis des affiches, des publicités....
Mais aussi des dessins d'observation :
De féroces dessins satiriques :
De nombreux albums pour la jeunesse :
Mais aussi d'incroyables dessins érotiques (en particulier des machines masturbatoires complètement folles), j'ai eu du mal à en trouver un à peu près pas trop hard :
Et puis des affiches, des publicités....
Cet incroyable personnage refuse d'être cantonné dans un genre particulier, mais chacun s'imbrique l'un dans l'autre avec beaucoup de cohérence. Oui, il y a une certaine cohérence à dessiner de l'érotisme et des albums pour la jeunesse. Les jeux y ont une grande importance, dans les deux cas. La très grande conscience de la vie et de la mort, aussi. Cohérence aussi entre satire et animaux, publicité et satire, animaux et érotisme...
30 à 40 000 dessins. J'aime ce foisonnement, et cet éclatement des frontières, mais aussi ces très palpables pulsions, cette logique interne, cette sorte d'obsession de la femme et des machines...
"Ungerer, c'est le saute-fleuve et le saute-océans. L'artiste universel. Son génie se joue de l'obstacle des langues et des pièges des techniques. Même si son rire se cache derrière la montagne magique de ses livres, même s'il adore faire le pitre, on sent bien ce qu'il y a en lui de tragique et de déchiré." (Bernard Clavel)
30 à 40 000 dessins. J'aime ce foisonnement, et cet éclatement des frontières, mais aussi ces très palpables pulsions, cette logique interne, cette sorte d'obsession de la femme et des machines...
"Ungerer, c'est le saute-fleuve et le saute-océans. L'artiste universel. Son génie se joue de l'obstacle des langues et des pièges des techniques. Même si son rire se cache derrière la montagne magique de ses livres, même s'il adore faire le pitre, on sent bien ce qu'il y a en lui de tragique et de déchiré." (Bernard Clavel)